L'industrie textile bio (2)
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La rédaction de l'article sur les différents labels m'a demandé des heures de recherche (une vingtaine je dirais) tellement le manque d'indormations est énorme. Les écrits en français sont incomplets voire imprécis ou carément inexacts. Bien souvent l'un ne fait que recopier l'autre et ainsi de suite. Il faut dire que les référentiels changent réguièrement pour suivfre l'évolution des connaissances en matière de substances chimiques. J'ai dû privilégié les documents officiels techniques et donc difficilrme,nt compréhensibles. J'avais aussi interrogé différents acteurs de la filière en amont et me suis rendu compte que là encore, il était difficile d'obtenir une information claire. Les 2 principaux labels Oeko tex et publient chacun des énomres listes de substances chimiques à éviter avec des seuils à ne pas dépasser pour Oeko tex. Aucun des 2 ne mentionne l'autre. La mode change (un peu), c'est indéniable mais nous n'en sommes qu'au début. Cela me rappelle les débuts de la cosmétiques biologiques, il y a 15 ans, l'information n'existait pas, j'avais dû lire le livre de Rita Stiens "la vérité sur les cosmétiques" pour tenter d'y voir clair. Il n'y avait que ce livre et il était très compliqué pour quelqu'un sans connaissance en chimie et c'était le début de la certification bio par Ecocert. Etant en charge de la distribution de quelques marques de cosmétiques bio en Espagne et Italie, il fallait que je sache de qupi je parlais. Et pourtant, il y a urgence de changer cette mode textile!